A son manoir las de borner sa rue,
Certain hibou supplia l’aigle, un jour,
De lui montrer l’olympique séjour;
L’aigle, en jouant, le porta sur la nus
Jusqu’au soleil : Ami, le vois-tu bien ?
—Je vois…je vois force brouillard, et rien !
Dit le hibou. L’aigle moqueur et leste
Vous rejeta mon aveugle ici-bas.
Pour admirer un spectacle céleste
Il faut avoir des yeux : les hiboux n’en ont pas.
“Le Hibou et l’Aigle”