On ne supporte qu’à moitié
Le poids des misères humaines,
Quand le ciel accorde fa nos peines
Les tendres soins de l’amitié.
Près de ce chien voyez son maître ;
Blessé par le poignard d’un traître,
Dans sa douleur comme il sourit
À l’infatigable tendresse
De la langue qui le caresse
Et tout-à-la-fois le guérit !
“La Langue du Chien”