Jean de La Fontaine
Poète, moraliste, romancier et fabuliste XVIIº – Livre 5 – Jean de La Fontaine
Livres des fables : 1 – 2 – 3 – 4 – 5 – 6 – 7 – 8 – 9 – 10 – 11 – 12
Les fables de Jean de la Fontaine avec des Commentaires et observations de Chamfort et de l’abbé Guillon et d’autres critiques et analystes tels que Louis Moland, Pierre-Louis Solvet, Charles Aubertin, Charles Nodier, Van Hollebeke, etc… – toutes les fables sont illustrées par J.J. Granville et Gustave Doré.
- Le Bûcheron et Mercure
- Le Pot de terre et le Pot de fer
- Le petit Poisson et le Pêcheur
- Les Oreilles du Lièvre
- Le Renard ayant la queue coupée
- La Vieille et les deux Servantes
- Le Satyre et le Passant
- Le Cheval et le Loup
- Le Laboureur et ses Enfants
- La Montagne qui accouche
- La Fortune et le jeune Enfant
- Les Médecins
- La Poule aux œufs d’or
- L’Âne portant des reliques
- Le Cerf et la Vigne
- Le Serpent et la Lime
- Le Lièvre et la Perdrix
- L’Aigle et le Hibou
- Le Lion s’en allant en guerre
- L’Ours et les deux Compagnons
- L’Âne vêtu de la peau du lion
- (Livre 5e. – Jean de La Fontaine
De La Fontaine, ils ont dit :
Voltaire :
« Je crois que si on s’est servi du terme d’instinct pour caractériser la Fontaine, ce mot instinct signifiait génie. Le caractère de ce bon homme était si simple, que dans la conversation il n’était guère au-dessus des animaux qu’il faisait parler; mais, comme poète, il avait un instinct divin, et d’autant plus instinct qu’il n’avait que ce talent. L’abeille est admirable, mais c’est dans sa ruche; hors de là l’abeille n’est qu’une mouche. »