L’étang, fier de la nappe d’eau
Qu’il déployait dans la prairie,
Traitait de fuyard le ruisseau,
Qui lui fit cette répartie :
« Oui, fainéant, je fuis ton sort,
Quand je m’éloigne de ma source ;
De ce limon où ton eau dort
Je me préserve par ma course. »
“L’Étang et le Ruisseau”