Bien passif, toi l’oisif,
Sans appui, c ‘est l ‘ennui,
Comme une main d’acier,
Le stress vient l’étouffer !
Et ce gant de velours,
Qui lui vole au secours,
Ne pourra lui donner
Un brin d ‘activité.
Roder sa lassitude,
Un boulet qu ‘il connaît,
L’ennemi reste entier !
Secouer cet état
L’angoisse est toujours là,
Chercher par le rachat
D ‘un but, d ‘une passion,
Se poser la question ?
“” Que faire de mes doigts ,
Et ma tête suivra !!! “”
“Inquiétude”, texte d’Annie Viti