A
La citrouille faisant parade
De son excessive grosseur,
De l’orange et de la grenade
Ne parlait que d’un ton railleur.
« Ce ton-là ne te convient guère,
Dirent ces deux beaux fruits au monstre potager,
Nous croissons pour orner la terre.
Et tu ne fais que la charger. »
“La Citrouille, l’Orange et la Grenade”