« Que fais-tu sur les bords de cette onde tranquille.
Et quel objet charmant tient ton œil immobile?
— Dans ce limpide et fidèle miroir
J’aime à me contempler; j’admire ma figure,
Et je rends grâce à la nature
Qui d’attraits enchanteurs se plut à me pourvoir.
— Monstre équivoque et vain! ta queue, affreuse à voir
Contre un si fol orgueil devrait te mettre en garde.
Et te réduire au désespoir.
— Crois-tu donc que je la regarde ? »
“La Sirène et le Passant”