Quoi de plus gracieux, de plus adroit aussi,
Qu’un jeune chat! admirez, le voici :
Comme il arrondit bien la patte!
Tomme de l’une à l’autre renvoyé
Un rien qui l’amusait est bien vite oublié!
Comme il roule gaîment sous la main qui le flatte !
Puis voyez-le jouer, bondir.
Courir après son ombre et de même la fuir !
Tout plaît en lui, tout charme en son enfance;
Môme, autrefois, une excellence
S’en amusait beaucoup, dit-on.
En ce point elle avait raison.
Pour plaire, pour qu’à loi le monde s’intéresse,
Prends à ta suite et lu grâce et l’adresse.
“Le Jeune Chat”