Au Dix-Neuvième Siècle, un jour, le Luxe dit :
« Je ne veux pas te faire mon éloge ;
Mais ton front, grâce à moi, de gloire resplendit.
Aux anciens préjugés, enfin , chacun déroge ;
De l’industrie accélérant l’essor,
Du bien-être sur tous j’épanche l’abondance ,
Et je ramène l’âge d’or. »
Notre Siècle est bonhomme ; il commit l’imprudence
De croire aux beaux discours de ce vil imposteur.
Hélas ! ce fut pour son malheur :
Depuis tout est en décadence.
“Le Luxe et le dix-neuvième siècle”