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Les deux Paysans, fable de la marquise La Ferrandière

K.R. by K.R.
novembre 18, 2021
in De La Ferrandière
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icon-angle-double-right La marquise de la Ferrandière

« D’où viens-tu ? disait Claude à Pierre ;
Sais-tu bien que Guillaume est d’hier trépassé ?
— Si je le sais ? Je viens de pleurer sur sa bière.
Ah ! tel bon cœur devrait être enchâssé :
Ce fermier, sans enfants, en mourant m’a laissé
De l’argent pour donner aux plus vieux du village
J’ai pensé vite à Biaise, à ses maux, à son âge ;
Il a reçu par moi cent écus aujourd’hui.
— Et pourquoi donc préférer Biaise ?
Cet argent te mettait pour longtemps à ton aise ;
N’es-tu pas pauvre, enfin, presqu’aussi vieux que lui ?
— Oh non ! répond l’excellent Pierre ;
Moi je suis vert encor, j’ai bon œil et bon bras,
Et ma femme et mon fils me sauvent d’embarras ;
Leurs travaux joints aux miens éloignent la misère.
— J’aurais, dit Claude, été moins scrupuleux que toi ;
Et je me crois un honnête homme :
Ne dire mot, garder la somme.
Qui t’eût reproché cela ? — Moi. »

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