• Accueil
    • Blog des fables
  • J. La Fontaine
    • Œuvres inédites de La Fontaine
    • Fables de La Fontaine et parodies
    • Les fables de Jean de La Fontaine
    • Anecdotes sur La Fontaine
    • Théâtre de La Fontaine
    • Contes de La Fontaine
    • Livre 1er
      • Livre 2
      • Livre 3
      • Livre 4
      • Livre 5
      • Livre 6
      • Livre 7
      • Livre 8
      • Livre 9
      • Livre 10
      • Livre 11
      • Livre 12
  • Les Fabulistes
    • Biographies et jugements
    • Les fables en chansons
    • Citations
    • Fables anonymes
    • Fables de l’Académie des jeux floraux
    • Fables analysées et expliquées
    • Fables-Express
  • Antiquité
    • Ésope
      • Analyses des fables d’Ésope
  • M-âge
  • XVIº
  • XVIIº
    • Jean de La Fontaine
  • XVIIIº
  • XIXº
    • Jean Anouilh
  • XXº
  • Éditos
    • Billets d’Humeur
  • Illustrations
  • Livres
    • Envoyez vos fables et poèmes
  • Actus
Contact
RuedesFables.net
dimanche, décembre 8, 2019
NEWSLETTER
Actus-News
  • Accueil
  • Antiquité
  • Moyen-âge
  • XVIe siècle
  • XVIIe siècle
  • XVIIIe siècle
  • XIXe siècle
  • XXe siècle
No Result
View All Result
  • Accueil
  • Antiquité
  • Moyen-âge
  • XVIe siècle
  • XVIIe siècle
  • XVIIIe siècle
  • XIXe siècle
  • XXe siècle
No Result
View All Result
RuedesFables.net
No Result
View All Result

Les fables de La Fontaine…

in Gustave Bourassa, Jean de La Fontaine
0
Le Philosophe scythe

Le Philosophe scythe

1 Star2 Stars3 Stars4 Stars5 Stars (Votez merci)

  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
Page vue : 38

icon-angle-double-right Gustave Bourassa , 1860 – 1904 ( 3ème. partie)

III

Arrêtons-nous quelque peu, à la suite de M. Taine, qui a fait des fables de La Fontaine une si profonde et si charmante étude, à quelques-uns des types que le poète a le plus heureusement décrits, dans ses spirituelles et légères comédies de vingt à cinquante vers.

Prenons, par exemple, le potentat, le souverain tout-puissant et arbitraire, qui prétend bien que l’Etat commence et finit à lui et que tout ce qui n’est pas l’Etat ne vit que pour lui et par lui.

Un personnage aussi auguste ne saurait être représenté que par le roi des animaux, ” sa majesté lionne,” ou par l’aigle, ” reine des airs.”

L’un et l’autre sont graves et majestueux par nature, comme lui-même est grave et majestueux par état. Car s’il lui arrive parfois de rire, c’est par exception, et le fait mérite qu’on le note et qu’on l’excuse ; ainsi, du moins, l’entend notre auteur :

Qu’un pape rie, en bonne foi

Je ne l’ose assurer ; mais je tiendrais un roi

Bien malheureux, s’il n’osait rire.

Mais il ne rit pas tous les jours, comme il ne sourit pas à tout venant.

Ce n’est pas le roi primitif des cités et des petits états antiques, père de son peuple, d’un abord familier et facile. C’est le monarque de Versailles, dominant de très haut, du sommet d’une cour hiérarchisée à l’infini et presque agenouillée devant lui, la nation lointaine qui l’entrevoit de très bas dans sa gloire de roi-soleil. Louis XIV, du moins, était toujours d’une politesse exquise, très souvent aimable dans son toujours très grand air : c’était pour lui devoir de roi. Celui des fables, au contraire, est superbe avant tout et le plus souvent dédaigneux. S’il est condescendant parfois aux petits, c’est quand il a bien dîné et que s’ennuyant, tout comme Jupiter, il trouve certain plaisir à leur babil.

Mais qu’ils aient garde, même en ces moments de bonne grâce et de bonne humeur, de lui faire maladroitement leur cour, de lui offrir de malencontreux services, car il leur fera sentir son mépris et sa colère ; il leur dira comme à la pie :

Ne quittez point votre séjour, Caquet-bon-bec, ma mie ; adieu ; je n’ai que faire D’une babillarde à ma cour : C’est un fort méchant caractère.

S’il appelle ses sujets autour de lui, c’est avant tout pour ” étaler ” devant eux ” sa puissance.” Il tient cour plénière, pour connaître la multitude et la variété de son peuple, et le festin dont il les régale d’abord, suivi des ” tours de Fagotin, ” ne lui est qu’ un prétexte à faire montre de sa magnificence.

Au cours de la fête, sa griffe de prince envoie prestement chez Pluton et l’ours maladroit qui bouche sa narine à l’odeur de ce charnier et le singe flagorneur qui loue avec excès la colère du maître.

Avec l’orgueil, il a l’ambition et le mépris du droit des faibles.

Il ne souffre pas qu’on réclame sa juste part de profit dans l’œuvre commune ; et du gibier abattu il s’arroge les quatre portions, la première, parce qu’il s’appelle lion, la seconde, par droit du plus fort, la troisième comme au plus vaillant, et quant à celle qui reste,

Si quelqu’un de vous touche à la quatrième, Je l’étranglerai tout d’abord. A ce point de vue, il ne vaut guère mieux que le loup? Bête roturière, bandit de bas étage, qui emporte l’innocent agneau et le mange ” sans autre forme de procès.” Chez l’un comme chez l’autre, c’est la force érigeant en droit ses convoitises et ses violences.

La préoccupation, la recherche de son moi domine tout autre sentiment ; et même lorsqu’il fait mine de songer au bien public, c’est encore et surtout au sien qu’il songe. Témoin cet hypocrite examen de conscience, qu’il fait en présence des animaux assemblés en conseil pour aviser au moyen d’apaiser la colère du ciel par le sacrifice du plus coupable d’entre eux :

Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons,

J’ai dévoré force moutons.

Que m’avaient-ils fait ? Nulle offense. Même il m’est arrivé quelquefois de manger

Le berger. Je me dévouerai donc, s’il le faut. Mais je pense Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice,

Que le plus coupable périsse.

Vous savez le résultat de cette confession.

Le plus coupable, aux yeux de cette cour de flatteurs, ne fut pas le mangeur de moutons, le mangeur de bergers, mais le pauvre baudet qui avait tondu ” d’un pré la largeur de sa langue.” Le faux pénitent ne cherchait pas autre chose.

Ce roi, du reste, sait régner ; il a les talents de son rôle, s’il en a les vices. Il observe soigneusement toutes les formalités d’une bonne administration, ” tient ses conseils de guerre,” ” envoie ses prévôts,” expédie ” de circulaires écritures avec son sceau,” ou des passeports contenant ” promesse très bien écrite,” ” foi de lion,” pour les députés du peuple et leurs Vassaux.

Malgré son orgueil et son égoïsme, qui le rendent tour à tour ou même à la fois ambitieux, méprisant, hypocrite et cruel, il ne manque à l’occasion ni de clémence ni de grandeur.

Il épargne noblement le rat qui se jette étourdiment entre ses pattes, montrant en cela ” ce qu’il est ; ” et vieux, affaibli par l’âge, livré à ses sujets ” devenus forts par sa faiblesse,” il demeure digne et calme sous leurs outrages, attendant son destin sans proférer une .plainte, sans laisser échapper un murmure, et n’exhalant qu’un gémissement sous l’opprobre du coup de pied de l’âne.

Ainsi meurent les lions, au sentiment du poète, dans leur majestueuse douleur. Ainsi doivent mourir les rois. Si le malicieux bonhomme qui a raillé discrètement deçà et delà à travers ses rimes, mais toujours avec une verve bénigne, les excès du pouvoir absolu, avait pu contempler, vingt ans après sa propre mort, la fin du grand roi qui avait ébloui l’Europe de sa gloire, tout en la liguant contre lui par ses prétentions ambitieuses, il se serait incliné avec respect devant la majesté sereine et triste de ses derniers moments.

Du maître passons au valet, c’est-à-dire du roi au courtisan ; car il n’est valet d’âme plus basse et plus fourbe. Et La Fontaine, fort au courant des mœurs de cour, non par lui-même, car la liberté de son esprit et de ses mœurs, peu agréable à Louis XIV, l’en tint toujours éloigné, mais par les conversations de ses amis, La Fontaine a peint avec beaucoup de finesse les défauts et les vices du courtisan. Il attribue parfois ce personnage au loup, au singe, au cerf ou à quelque autre ; mais c’est au renard qu’en revient presque toujours l’honneur, et à bon droit, car il a tous les talents et tous les vices de l’état.

Infiniment adroit d’abord, astucieux jusqu’au mensonge, il louvoie à merveille au milieu des écueils du métier. Il sait se tirer habilement d’un piège que lui a dressé un bon camarade pour le faire tomber en disgrâce, et même retourner contre lui son embûche.

Un jour par exemple il apprend que le loup vient de lui faire un mauvais parti auprès du prince, interprétant malicieusement son absence de la cour, alors que tous les animaux ont été invités à venir proposer un remède au mal dont souffre Sa Majesté. Mandé par elle en hâte, il s’approche humblement, et d’un ton doux et insinuant présente ainsi sa justification :

Je crains, Sire, dit-il, qu’un rapport peu sincère

Ne m’ait à mépris imputé,

D’avoir différé cet hommage :

Mais j’étais en pèlerinage Et m’acquittais d’un vœu fait pour votre santé.

Et voyez comme le ciel est propice aux âmes pieuses ! En route, il a justement trouvé, auprès de ” gens experts et savants ” qu’il a consultés sur la maladie royale, le remède qui convient à Sa Majesté : c’est, ni plus ni moins,.. .la peau de son rival. Mais il suggère la chose du ton de l’homme de l’art qui recommande un spécifique, en tout désintéressement et pour le plus grand bien de son patient :

Vous ne manquez que de chaleur,

dit-il au royal malade,

Le long âge en vous l’a détruite : D’un loup écorché vif appliquez-vous la peau Toute chaude et toute fumante : Le secret, sans doute, en est beau Pour la nature défaillante.

Et il termine par un trait aigu qu’il décoche à son adversaire, savourant sa vengeance dans ce sarcasme insinuant :

Messire loup vous servira,

S’il vous plaît, de robe de chambre.

Il a du reste la raillerie naturelle et facile, comme les malins égoïstes qui vivent de la naïveté d’autrui, et il ne se gêne pas de se moquer des sots qui se sont mis dans l’embarras pour le tirer d’un mauvais pas. Tel, l’adieu moqueur qu’il jette au pauvre bouc à qui il a demandé le secours de ses pattes et de ses cornes, pour sortir du puits où tous deux étaient si inconsidérément descendus boire sans songer à la sortie :

Si le ciel t’eût donné par excellence Autant de jugement que de barbe au menton, Tu n’aurais pas à la légère Descendu dans ce puits.

Il a donc de l’esprit, beaucoup d’esprit, et l’on ne peut s’empêcher d’admirer ses réparties et ses tours ; mais il ne s’en sert jamais que pour railler, tromper ou nuire ; car il n’a ni cœur, ni bonté, ni respect, ni honnêteté. Si, il respecte son prince, mais parce qu’il le craint ; et son respect ne se traduit que par la flatterie la plus adroite et la plus audacieuse ; les crimes et les abus du pouvoir n’ont pas de meilleur avocat ; et ce n’est pas lui qui favorisera jamais chez le prince la velléité passagère de reconnaître ses torts et d’amender sa vie. A sa confession la plus entière il oppose la plus spécieuse justification. Le royal mangeur a dévoré, englouti mainte brebis et même plus d’un berger. Peuh que tout cela !

Sire…, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! Manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes, Seigneur,

En les croquant, beaucoup d’honneur.

Et quant au berger, l’on peut dire

Qu’il était digne de tous maux,

Étant de ces gens-là qui sur les animaux

Se font un chimérique empire.

Jamais juriste épris des droits et des prérogatives royales n’a poussé plus loin la complaisance pour l’omnipotence du souverain, et ce renard était bien de la famille des avocats de cour dont parlait le grand Frédéric à son neveu : ” Quand vous voudrez, lui disait-il, revendiquer une province, faites provision de troupes. Vos orateurs prouveront surabondamment vos droits.”

Son talent d’avocat, du reste, lui sert autant pour assurer ses propres intérêts que pour flatter les convoitises du prince. Il nous en donne un délicieux échantillon dans le discours qu’il adresse à ” compère loup,” pour l’attirer dans un puits où il est lui-même descendu, dans l’espoir d’y goûter certain fromage, qui n’était autre que l’image de la lune réfléchie dans l’eau noire. Entendez ces considérations qu’il lui fait valoir, plus alléchantes cent fois que la vaine apparence qui l’a trompé lui-même ; voyez comme il tire parti de toutes les circonstances, comme il explique à son profit tout ce qui peut mettre l’autre en défiance :

……Camarade,

Je veux vous régaler. Voyez-vous cet objet ? C’est un fromage exquis ; le dieu Faune l’a fait,

La vache Io donna le lait ;

Jupiter, s’il était malade, Reprendrait l’appétit en tâtant d’un tel mets. J’en ai mangé cette échancrure, Le reste vous sera suffisante pâture. Descendez dans un seau que j’ai là mis exprès.

En faut-il plus pour convaincre un affamé ? Le loup descendit ; il y est peut-être encore.

Fécond en expédients, en tours inépuisable, presque toujours heureux, grâce à son adresse et à son audace, il ne se trouble pas dans son insuccès et sait dérober ses défaites sous un air galant et dégagé.

Un vieux coq, qu’il a voulu attirer dans ses pattes, mais aussi rusé que lui, le paie de sa monnaie ; du haut de la branche où il le nargue, il lui annonce l’approche de deux lévriers, porteurs sans doute de l’heureuse nouvelle de la paix générale, qu’il vient lui-même de lui annoncer et qu’il voudrait sceller par une accolade : ” Attendez un peu, lui dit-il, nous allons nous embrasser tous ensemble.” Mais non, il est trop pressé, il faut qu’il coure vite au terme de sa route ; ” sa traite est longue à faire.”

Adieu…, dit-il,

Nous nous réjouirons du succès de l’affaire

Une autre fois.

Et son superbe dédain pour ces raisins qu’il trouve “trop verts ” et ” bons pour des goujats,” parce qu’ils sont hors de sa portée ! Personne n’en a oublié la formule ; elle est devenue proverbe ; et nous l’avons tous peut-être appliquée, un jour ou l’autre, à d’autres renards qui n’étaient pas aussi renards que celui-là.

  • Gustave Bourassa , 1860 – 1904 (IIIe partie)
L'eau, le vent et la réputation

wind_and_sun_vent_et_soleil_aesops_fables_Wolf_Zwecke_Dalziel_1867J'étais tout enfant, mes bons amis, lorsque ma nourrice me fit le joli conte que je vais vous dire ; — Trois êtres fugitifs, le Vent, l'Eau, la Réputation, jouaient ensemble et se cachaient tour à tour. — L'Eau, traversant les gorges des montagnes, se précipitant dans les ravins, disparut à tous les regards ; on la perdit de vue ; mais enfin, dans une vallée profonde, on la retrouva cachée. — Le Vent siffla et s'éleva sur les rocs, il s'engouffra dans les cavernes, à la cime des monts ; mais on le rendit captif, on l'atteignit enfin. — La Réputation, quand vint son tour, dit aux deux autres : Prenez bien garde, une fois que vous m'aurez perdue, vous m'aurez perdue à jamais. — En effet, elle se cacha, mais pour toujours, et toutes les recherches furent vaines. Trésor que rien ne remplace, égarez-le, vous ne le retrouverez jamais. Auteur inconnu…

Related Posts

Les Animaux malades de la peste
Analyse des fables

La fable Les animaux malades de la peste résumée

4 juillet 2019
Fables de La Fontaine, images d’Epinal, 1ère. série
Illustrations

Fables de La Fontaine, images d’Epinal, 1ère. série

19 novembre 2017
Fables de La Fontaine illustrées par Vimar
Illustrations

Fables de La Fontaine illustrées par Vimar

27 novembre 2016
Le Cerf malade
Illustrations

Livre 12 fables de La Fontaine, Grandville

23 novembre 2016
e Loup et le Renard
Illustrations

Livre 11 fables de La Fontaine, Grandville

23 novembre 2016

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les deux rats et le chat

Deux rats se disputaient pour un morceau de lard
Qu’ils avaient trouvé par hasard ;
Un chat survient au bruit, les prend et les dévore.
S’ils avaient, en amis, et comme ils l’auraient dû
Partagé le butin qui leur était échu
Le chat ne serait pas venu,
Et nos deux rats vivraient encore.
Plaideurs, vous avez entendu.
E. de B.

Dernières publications

mulot
Yves Tarantik

Le Mulot qui veut prendre femme

24 juillet 2019
cerf
Henri Cachau

Le brame…fable d’Henri Cachau

24 juillet 2019
tour_de_france2
Henri Cachau

Le Régional, par Henri Cachau

12 juillet 2019
rose-jaune-halo
Divers

Le papillon et la rose, par Mlle Laurette Berthe

6 juillet 2019
Mémorial au Vietnam
Vicomte de La Boulaye

L’homme et l’oiseau, fable du Vte. de La Boulaye

5 juillet 2019

Tiens donc !

M. Ménard a la main heureuse. Il vient de découvrir six fables inédites de La Fontaine, qui sont de Mme de Villedieu.
Je le lui pardonne, à condition qu’il découvre seulement une fable de Mme de Villedieu, qui soit de La Fontaine.




Commentaires récents

  • Yves Tarantik dans Message dans le vent par Geno Namy
  • Yves Tarantik dans Le Mulot qui veut prendre femme
  • Henri Cachau dans Le Mulot qui veut prendre femme
  • Henri Cachau dans Le Hanneton et l’Enfant
  • Henri Cachau dans Le Mouton et le Buisson, par Drevet
  • Henri Cachau dans Le Furet et ses confidents
  • Christian Satgé dans Les pigeons et le rossignol
  • David Di Paolo dans Le Hanneton et l’Enfant
  • David Di Paolo dans Les pigeons et le rossignol
  • David Di Paolo dans Le papillon et la rose, par Mlle Laurette Berthe

Fables – 2 tomes – Guy Le Ray – Sylvie-Dala

Aimez-vous les fables ?

Top 20 des articles les plus vus

  • Fables d’Esope (252 458)
  • Tous les fabulistes (240 106)
  • Fables analysées et expliquées (213 046)
  • La vie de Jean de La Fontaine (195 652)
  • Livre 2e. – Jean de La Fontaine (180 561)
  • Mille et une Nuits (171 496)
  • Fables du XXe siècle (150 313)
  • Livre 3e. – Jean de La Fontaine (149 074)
  • La vie d’ Ésope (137 305)
  • Jean-Pierre Claris de Florian (123 655)
  • Livre 4e. – Jean de La Fontaine (123 296)
  • Livre 1er – Jean de La Fontaine (121 860)
  • Fables du XIXe siècle (118 731)
  • La vie de Phèdre (116 201)
  • Fables d’Orient (112 200)
  • Livre 7 – Jean de La Fontaine (107 852)
  • Livre 5e. – Jean de La Fontaine (99 739)
  • Avianus Flavius (97 559)
  • Fables du XVIIIe siècle (95 823)
  • Loqman (95 754)

Articles les plus commentés

Conte de fée - monde
Geno Namy

Message dans le vent par Geno Namy

5 mai 2019
26

Geno Namy Poèmes et Fables - Message dans le vent   La terre en friche de sa jeunesse Attendait tant...

Read more
Interview de M. Christian Satgé
Christian Satgé

Interview de M. Christian Satgé

23 février 2019
Bible
Daniel Allemand

Le langage des fables

12 septembre 2016
Le déluge
Daniel Allemand

Le devenir de l’homme

12 avril 2019
Retour au bercail
Geno Namy

Retour au bercail

26 janvier 2019

Bon à savoir

  • À Propos
  • Charte et règles
  • Actualités de la Rue…
  • Blog des fables
  • Protection de données
  • Politique de confidentialité
  • Contact

Nos partenaires

editions-edilivre

Un mot aux visiteurs

L’objectif premier de ce site et de répertorier le plus grand nombre de fabulistes vivants ou décédés.
Faire sortir de la pénombre un fabuliste oublié c’est notre intention.
Vous les faire découvrir c’est notre ambition.
Vous rencontrez des erreurs, liens cassés, fautes d’orthographe… n’hésitez pas à nous les signaler, ce geste altruiste ne vous prendra pas plus d’une minute et en même temps vous participez à l’amélioration de votre blog car la “Rue des fables” vous appartient aussi. Vive le partage.
A tous les visiteurs fidèles ou de passage toute l’équipe vous dit merci. Si tous les chemins mènent à Rome, la « Rue » vous fera voyager beaucoup plus loin et même d’avantage… Laissez-vous emporter !
Reffes

  • Origines des Fables
  • Anecdotes
  • Citations
  • Fables illustrées

ruedesfables.net - 2005 - 2018 I Règles de confidentialité I Liens I Contact I Politique de confidentialité I

No Result
View All Result

ruedesfables.net - 2005 - 2018 I Règles de confidentialité I Liens I Contact I Politique de confidentialité I

Login to your account below

Forgotten Password?

Fill the forms bellow to register

All fields are required. Log In

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In
En poursuivant votre navigation sur wwww.ruedesfables.net, vous acceptez l’utilisation de cookies ou autres traceurs pour vous proposer du contenu et des publicités ciblées et réaliser des statistiques de visites.OuiEn savoir plus...