Pierre Millot, Le Corbeau et le Renard:
« Un Corbeau ayant pris un fourmage… s’alla percher sur un arbre… Le Renard… se mit à l’arraisonner de la sorte : « Corbeau mon ami ! que ton plumage est luisant! que ton bec est gentil et que ton corps est beau ! Si tu savois chanter, il n’y auroit point d’oiseaux pour se comparer à toi. »Alors le Corbeau, se laissant emporter à la vanité, voulut montrer qu’il savoit bien chanter, et, ouvrant le bec, laissa tomber son fourmage…
“Le Corbeau et le Renard”