François de Salignac de La Mothe-Fénelon dit Fénelon
- Le malheur ajoute un nouveau lustre à la gloire des grands hommes.
- Avant que de se jeter dans le péril, il faut le prévoir et le craindre; mais quand on y est, il ne reste plus qu’à le maîtriser.
- Il faut mériter les louanges, et les fuir.
- Il ne faut avoir de l’esprit que par mégarde et sans y songer. La sagesse n’a rien d’austère ni d’affecté : elle prépare le plaisir par le travail, et elle délasse du travail par le plaisir.
- On n’est pas homme quand on n’aime que soi.
- Il n’y a ni vertu, ni vrai courage, ni gloire solide, sans humanité.
- Ou ne peut voir la vertu sans l’aimer, et l’on ne peut l’aimer sans être heureux.
- Ce qui décrie la piété parmi les gens du monde, c’est que beaucoup d’esprits mal faits la réduisent à des pratiques basses et superflues, abandonnant l’essentiel.
- Aimez et observez la religion; le reste meurt ; elle ne meurt jamais.
- Dans tout pays l’athée est funeste aux états Et, s’il ne l’est lui-même, il fait des scélérats.
- François de Salignac de La Mothe-Fénelon dit Fénelon 1651 – 1715