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Du Cochon et du Renard

K.R. by K.R.
novembre 18, 2021
in fables Esope
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L’Âne ayant la charge de la Chèvre, de la Brebis et du Porc se rendait à la ville. Comme le Renard avait entendu le Porc crier pendant tout le chemin, il lui demanda pourquoi, tandis que les autres se laissaient mener sans mot dire, il était le seul à crier. Il répondit : ” Oui, mais moi, ce n’est pas sans raison que je me plains. Je sais en effet que le Maître épargne la Brebis qui lui donne du lait et de la laine, la Chèvre à cause de ses fromages et de ses Chevreaux, mais moi j’ignore à quoi d’autre je puis être bon. De toute façon il me tuera. ” Il ne faut pas blâmer ceux qui déplorent leur propre sort, quand ils pressentent les malheurs qui leur sont réservés.
  • Esope – (VIIe-VIe siècle av. J.-C)

L’Homme et le Porc

Un homme portait un jour sur une bête de somme, un mouton, une chèvre et un porc, et s’en allait vendre le tout à la ville. Le mouton et la chèvre étaient tranquilles, mais le porc était rétif et ne cessait de se débattre. L’homme alors lui dit : « O le plus mauvais des ani­maux, pourquoi le mouton et la chèvre sont-ils calmes et paisibles, tandis que toi tu ne veux pas rester tranquille. » — « O mon maître, lui répondit le porc, chacun se connaît ; et je sais qu’on recherche le mouton pour sa laine et la chèvre pour son lait, mais moi, malheureux , qui n’ai ni laine, ni lait, à mon arrivée à la ville on m’en­verra sans aucun doute à la boucherie. »

Cette fable signifie

que ceux qui sont plongés dans les délits et les crimes que leurs mains ont commis, doivent connaître le sort malheureux qui les attend dans l’autre vie.

  • Luqman (Locman ou Loqman)  XIe siècle av. J.-C.

Le Cochon la Chèvre et le Mouton

ne chèvre, un mouton, avec un cochon gras,
Montés sur un même char, s’en allaient à la foire.
Leur divertissement ne les y portait pas ;
On s’en allait les vendre, à ce que dit l’histoire :
Le charton n’avait pas dessein
De les mener voir Tabarin.
Dom pourceau criait en chemin
Comme s’il avait eu cent bouchers à ses trousses.
C’était une clameur à rendre les gens sourds.
Les autres animaux, créatures plus douces,
Bonnes gens, s’étonnaient qu’il criât au secours;
Ils ne voyaient nul mal à craindre.
Le charton dit au porc :« Qu’as-tu tant à te plaindre ?
Tu nous étourdis tous : que ne te tiens-tu coi?
Ces deux personnes-ci, plus honnêtes que toi,
Devraient t’apprendre à vivre ou du moins à te taire :
Regarde ce mouton, a-t-il dit un seul mot?
Il est sage. – Il est sot,
Repartit le cochon : s’il savait son affaire,
Il crierait, comme moi, du haut de son gosier;
Et cette autre personne honnête
Crierait tout du haut de sa tête.
Ils pensent qu’on les veut seulement décharger,
La chèvre de son lait, le mouton de sa laine:
Je ne sais pas s’ils ont raison ;
Mais quant à moi qui ne suis bon
Qu’à manger, ma mort est certaine.
Adieu mon toit et ma maison.»
Dom pourceau raisonnait en subtil personnage.
Mais que lui servait-il ? Quand le mal est certain,
La plainte ni la peur ne changent le destin
Et le moins prévoyant est toujours le plus sage.

  • Jean de la Fontaine – (1621 – 1695)

 

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