La fourmi prévoyante épargne dans l’été
Ce qu’il lui faut pour passer à son aise
Les tristes jours de la saison mauvaise ;
Mais le mulot entasse avec avidité,
Et de vivres toujours sa demeure est remplie :
La première est l’économie ;
Le second, la cupidité.
“La Fourmi et le Mulot”