Fables du labyrinthe de Versailles
A La vieille Souris disoit sa jeune fille,
Je hay le petit Coc J’aime le petit Chat.
Le Chat, répond sa mère, ah ! c’est un scelerat,
Mais le Coc n’a point fait de mal à ta famille.
- Les Fables du labyrinthe de Versailles, La Souris, le Chat et petit Coc