Sur le sentier qui mène à la machine
Où le grain passe à l’état de farine ,
Fixant un jour les ailes du moulin.
Sans s’atteindre jamais se poursuivant sans cesse.
L’âne disait : « Voilà qui confond ma sagesse;
À comprendre ceci je me fatigue en vain.
Eh bien ! après tout, que m’importe?
Mon maître avait sans doute une bonne raison
Pour attacher ces ailes de la sorte,
Et je dois l’écouter, que je comprenne ou non. »
Quand notre esprit trouve un mystère,
A l’exemple de ce grison,
Au lieu de discuter, sachons aussi nous taire.
“L’Âne et les Ailes du Moulin”