Un Cabaret, tout à neuf reconstruit,
Se riait d’un Clocher plus d’aux trois quarts détruit.
Joignant à ses dédains l’injure,
Il lui disait : vieille masure,
Nid de hiboux,
Tu tombes sous mes coups,
Je te démolis pierre à pierre,
Je te fais tomber en poussière.
De semblables succès, je ne ne suis point jaloux,
Répond le vieux Clocher, car c’est le fruit des larmes.
Il est trop vrai que je meurs ;
Mais un autre motif, cause, hélas ! mes alarmes.
De mes enfants chéris, toi qui corromps les mœurs,
Sois maudit, Cabaret, cause de leurs malheurs !
“Le Cabaret et le Clocher”