M es flèches, mon carquois! je veux que désormais
L’on tremble à mon aspect; c’en est fait, plus de paix.
Perçons le cœur de ces cruelles
Qui se font un plaisir de mépriser nos lois.
Le dieu fend l’air de ses rapides ailes ,
Arme son arc au premier bois :
Il voit Cloris…. adieu, (lèches, arc et carquois.
Qui pense vaincre est vaincu quelquefois.
“Le grand Courroux d’Amour”