Le front bas, à pas lents, marchait un lourd Anon ;
Un léger Lévrier ricane :
« Je vole, et le devance : oh! pour moi quel renom! »
Est-il donc quelque gloire à devancer un âne.
- Le Lévrier et l’Ane, Charles-Louis Mollevaut 1776-1844
icon-angle-double-right Charles-Louis Mollevaut
Le front bas, à pas lents, marchait un lourd Anon ;
Un léger Lévrier ricane :
« Je vole, et le devance : oh! pour moi quel renom! »
Est-il donc quelque gloire à devancer un âne.