De leurs plaintes sans fin, de leurs souhaits sans bornes,
Le singe et l’âne un jour importunaient les cieux :
«Ah ! je n’ai point de queue ! — Ah ! je n’ai point de cornes !
— Ingrats ! reprit la taupe, eh ! vous avez des yeux ! »
“Le Singe, l’Âne et la Taupe”