• Accueil
  • Blog des fables
  • J. La Fontaine
    • Les fables de Jean de La Fontaine
    • Anecdotes sur La Fontaine
    • Théâtre de La Fontaine
    • Contes de La Fontaine
    • Livre 1er
      • Livre 2
      • Livre 3
      • Livre 4
      • Livre 5
      • Livre 6
      • Livre 7
      • Livre 8
      • Livre 9
      • Livre 10
      • Livre 11
      • Livre 12
  • Les Fabulistes
    • Biographies et jugements
    • Fables analysées et expliquées
    • Citations
    • Fables-Express
  • Antiquité
    • Ésope
    • Analyses des fables d’Ésope
  • M-âge
  • XVIº
  • XVIIº
    • Jean de La Fontaine
  • XVIIIº
  • XIXº
    • Jean Anouilh
  • XXº
  • XXIº
  • Éditos
    • Billets d’Humeur
  • Illustrations
  • Livres
  • À vous
Contact
Rue Des Fables
samedi 21 juin 2025
  • Accueil
  • Antiquité
  • Moyen-âge
  • XVIe siècle
  • XVIIe siècle
  • XVIIIe siècle
  • XIXe siècle
  • XXe siècle
  • XXIe siècle
No Result
View All Result
  • Accueil
  • Antiquité
  • Moyen-âge
  • XVIe siècle
  • XVIIe siècle
  • XVIIIe siècle
  • XIXe siècle
  • XXe siècle
  • XXIe siècle
No Result
View All Result
Rue Des Fables
No Result
View All Result

Les deux Amis, fable du Marquis de Bercy

K.R. by K.R.
novembre 18, 2021
in Maximilien Emmanuel-Charles de Malon
A A
1
VIEWS
Partager sur Facebook

icon-angle-double-right Maximilien Emmanuel-Charles de Malon

Un Quidam d’un Ami reçoit un court billet,
Pour le presser, au cas qu’il soit possible,
De l’aider à païer une dette exigible
Contractée en tenant la main au Lansquenet,
Par un revers inconcevable, horrible.
Non, Parbleu, je n’en ferai rien,
Se dit en lui-même notre homme ;
Tirer de presse un joueur ! Voilà comme
On l’engage à perdre son bien.
Qu’il souffre, afin qu’il mûrisse sa tête :
D’ailleurs on revoit peu la somme que l’on prête,
Et le fruit d’obliger de la sorte un ami,
C’est, pour être païé, d’en faire un ennemi.
Ainsi, sous un prétexte honnête,
Il met Néant au bas de la requête.
Chez un second Quidam fut envoïé
Autre billet de même style.
Hélas ! comme il s’est fourvoïé,
S’écrie, en le lisant, cet homme plus facile !
Mais qu’importe à mon amitié,
Dès que je lui puis être utile ?
Il répond au valet : Dis que chez lui je cours.
II y court en effet : « Mon ami, sois tranquille ;
» Tu voulois cent louis ; je t’en apporte mille.
» Voici le plus beau de mes jours !
» Cependant fuis du jeu la passion terrible.»

La Raison calcule toujours ;
Mais rien n’arrête un Cœur sensible.

“Les deux Amis”

Previous Post

Les deux Abeilles, fable de Guieu

Next Post

Les deux Amis, fable de Porchat-Bressenel

Next Post

Les deux Amis, fable de Porchat-Bressenel

Ajouts récents

  • Fables du XXIe siècle
  • Hommage à Kader Reffes
  • Zeus, Promothée, Athéné et Momos
  • Zeus et les Hommes
  • Zeus et les Hommes
Rue Des Fables

  • Origines des Fables
  • Anecdotes
  • Citations
  • Fables illustrées

ruedesfables.net - 2021 I Règles de confidentialité I Contact I Politique de confidentialité

No Result
View All Result
  • Accueil
  • Blog des fables
  • J. La Fontaine
    • Les fables de Jean de La Fontaine
    • Anecdotes sur La Fontaine
    • Théâtre de La Fontaine
    • Contes de La Fontaine
    • Livre 1er
      • Livre 2
      • Livre 3
      • Livre 4
      • Livre 5
      • Livre 6
      • Livre 7
      • Livre 8
      • Livre 9
      • Livre 10
      • Livre 11
      • Livre 12
  • Les Fabulistes
    • Biographies et jugements
    • Fables analysées et expliquées
    • Citations
    • Fables-Express
  • Antiquité
    • Ésope
    • Analyses des fables d’Ésope
  • M-âge
  • XVIº
  • XVIIº
    • Jean de La Fontaine
  • XVIIIº
  • XIXº
    • Jean Anouilh
  • XXº
  • XXIº
  • Éditos
    • Billets d’Humeur
  • Illustrations
  • Livres
  • À vous

ruedesfables.net - 2021 I Règles de confidentialité I Contact I Politique de confidentialité

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In
Ce site fonctionne avec des cookies. En continuant, vous acceptez leur utilisation.