Deux tisons séparés dans une cheminée
S’éteignaient en poussant un long gémissement.
Mais la pincette, ou mieux la destinée,
Les ayant réunis, immédiatement
On vit jaillir une étincelle,
Puis une flamme pure et belle.
L’isolement est la pire des morts,
Soyons unis pour être heureux et forts.
“Les deux Tisons”