D’Hercule on connait la massue,
Par les coups qu’elle a portés;
Cette arme que personne après lui ne remue,
Même les héros redoutés,
Célèbres dans la fable ou bien dans l’Épopée!
De Charlemagne aussi j’ai vue l’épée!
Quelle du! être lourde à ces débiles mains
Qui vinrent après lui, la montrer aux humains!
J’en conclus qu’il en est qui meurent à la peine,
En voulant imiter ce qu’un autre avant eux,
A conçu de grand, ou d’heureux.
J’espère peu, pourtant, qu’on s’en souvienne.
“Hercule et Charlemagne”