Un lierre, en serpentant au haut d’une muraille,
Voit un humble rosier, et se rit de sa taille.
Apprends, dit l’arbre nain, que, seul, privé d’appui,
J’ai su m’élever par moi-même;
Et toi, dont l’orgueil est extrême,
Tu ramperais encor sans le secours d’autrui.
“Le Lierre et le Rosier”