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Les deux Frères, fable du Marquis de Bercy

K.R. by K.R.
novembre 18, 2021
in Maximilien Emmanuel-Charles de Malon
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icon-angle-double-right Maximilien Emmanuel-Charles de Malon

Le mobile puissant d’une belle action
Des vices les plus grands trop souvent est le père
Amour-propre est son nom ;
Il aveugle, il éclaire
Selon qu’il est vergogne, ou bien présomption.
On élevoit ensemble les deux Frères,
Mais d’un naturel différent ;
Car, quoiqu’issus du même sang,
On est fort opposé souvent de caractères.
L’aîné n’avoit de volonté,
D’ambition, que celle de bien faire :
Aussi dévoroit-il avec avidité
D’un Maître intelligent chaque avis salutaire.
Le Cadet croïoit au contraire
A douze ans déjà tout sçavoir,
Rejettoit les conseils ; Suffisant, téméraire,
Voïant par ses yeux seuls, imaginoit bien voir.
Rien ne put le changer ; Tout le cours de sa vie
Fut un enchaînement de funestes erreurs ;
Il vécut dans la honte, éprouva cent malheurs ;
Jeune encor, de ses jours la source fut tarie.
L’autre fut le Législateur,
Et le Héros de sa Patrie,
Et du bonheur public vit naître son bonheur.

Quelle condition ici bas est la nôtre !
L’amour-propre nous rend ou tout un, ou tout autre.

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