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Préceptes du genre , J-F. Marmontel

K.R. by K.R.
novembre 18, 2021
in Analyse des fables, J-F. Marmontel
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Préceptes du genre : Jean-François Marmontel

Jean-François Marmontel, né à Bort-les-Orgues le 11 juillet 1723 et mort à Habloville le 31 décembre 1799 est un encyclopédiste, historien, conteur, romancier, grammairien et poète, dramaturge et philosophe français.

Fable, apologue. 1 – 2

On a fait consister l’artifice de la fable à citer les hommes au tribunal des animaux; c’est comme si l’on prétendait que la comédie citât les spectateurs au tribunal de ses personnages, les hypocrites au tribunal de Tartuffe, les avares au tribunal d’Harpagon, etc. Dans l’apologue, les animaux sont quelquefois les précepteurs des hommes; La Fontaine l’a dit; mais ce n’est que dans les exemples où la fable les représente meilleurs et plus sages que nous.
Dans le discours que La, Motte a mis à la tête de ses fables; il démêle en philosophe l’artifice caché dans ce genre de fiction ; il en a bien vu le principe et la fin; les moyens seuls lui ont échappé. Il traite, en bon critique, de la justesse et de l’unité de l’allégorie, de la vraisemblance des mœurs et des caractères, du choix de la moralité et des images qui l’enveloppent; mais toutes ces qualités réunies ne font qu’une fable régulière; et un poème qui n’est que régulier, est bien loin d’être un bon poème.
C’est peu que dans la fable une vérité utile et peu commune se déguise sous le voile d’une allégorie ingénieuse; que cette allégorie, par la justesse et l’unité de ses rapports, conduise directement au sens moral qu’elle se propose; que les personnages qu’on y emploie remplissent l’idée qu’on a d’eux. La Motte a observé toutes ces règles dans quelques-unes de ses fables; il reproche avec raison à La Fontaine de les avoir négligées dans quelques-unes des siennes. D’où vient donc que les plus défectueuses de La Fontaine ont un charme et un intérêt que n’ont pas les plus régulières de La Motte?
Ce charme et cet intérêt prennent leur source, non-seulement dans le tour naturel et facile des vers, dans l’originalité piquante et heureuse de l’expression, dans le coloris des images, dans la justesse et la précision du dialogue, dans la variété,- la richesse, la rapidité des peintures, en un mot, dans le génie poétique, don précieux et rare, auquel tout l’excellent esprit de La Motte n’a pu jamais bien suppléer; mais encore dans la naïveté du récit et du style, caractère dominant du génie de La Fontaine.
On a dit : Le style de la fable doit être simple, familier, riant, gracieux, naturel, et même naïf Il fallait dire, et sur-tout naïf.
Essayons de rendre sensible l’idée que j’attache à ce mot naïveté, qu’on a si souvent employé sans l’entendre.
La Motte distingue le naïf du naturel; mais il fait consister le naïf dans l’expression fidèle et non réfléchie de ce qu’on sent; et d’après cette idée vague, il appelle naïf le qu’il mourut du vieil Horace. Il me semble qu’il faut aller plus loin, pour trouver le vrai caractère de naïveté qui est essentiel et propre à la fable.
La vérité de caractère a plusieurs nuances qui la distinguent d’elle-même : ou elle observe les ménagements qu’on se doit et qu’on doit aux autres; et on l’appelle sincérité: ou elle franchit,dès qu’on la presse, la barrière des égards; et on la nomme franchise : ou elle n’attend pas même, pour se montrer à découvert, que les circonstances l’y engagent et que les décences l’y autorisent; et elle devient imprudence, indiscrétion, témérité, suivant qu’elle est plus ou moins offensante pu dangereuse. Si elle découle de lame par un penchant naturel et non réfléchi; elle est simplicité ; si la simplicité prend sa source dans cette pureté de mœurs qui n’a rien à dissimuler ni à feindre; elle est candeur : si à la candeur se joint une innocence peu éclairée, qui croit que tout ce qui est naturel est bien; c’est ingénuité : si L’ingénuité se caractérise par des traits qu’on aurait eu soi-même intérêt à déguiser, et qui nous donnent quelque avantage sur celui auquel ils échappent; on la nomme naïveté ou ingénuité naïve. Ainsi la simplicité ingénue est un caractère absolu et indépendant des circonstances; au lieu que la naïveté est relative,
Hors les puces qui m’ont la nuit inquiétée,ne serait dans Agnès qu’un trait de simplicité, si elle parlait à ses compagnes.
Jamais je ne m’ennuie,ne serait qu’ingénu, si elle ne lésait pas cet aveu à un homme qui doit s’en offenser Il en est de même de L’argent qu’en ont reçu notre Alain et Georgette, etc.
Par conséquent, ce qui est( compatible avec le caractère naïf dans tel temps, dans tel lieu, dans tel état, ne le, serait pas dans tel autre. est naïve autrement qu’Agnès; Agnès, autrement que ne doit l’être une jeune fille élevée à la cour ou dans le monde : celle – ci peut dire et penser ingénument des choses que l’éducation lui a rendues familières, et qui paraîtraient réfléchies et recherchées dans la première. Ainsi la naïveté est susceptible de tous les tons. Joas est naïf dans sa scène avec Athalie, mais d’une naïveté noble, qui fait frémir pour les jours de ce précieux enfant; et lorsque M. de Fontenelle a dit que le naïf était une nuance du bas, il a prouvé qu’il n’avait pas le sentiment de la naïveté. Cela posé, voyons ce qui constitue la naïveté dans la fable, et l’effet qu’elle y produira. La Motte a observé que le succès constant et universel de la fable venait de ce ,que l’allégorie y ménageait et flattait l’amour-propre : rien n’est plus vrai ni mieux senti ; mais cet art de ménager et de flatter l’amour-propre, au lieu de le blesser, n’est autre, chose que l’éloquence naïve, l’éloquence d’Ésope chez les anciens, et de La Fontaine chez les modernes.
De toutes les prétentions des hommes, la plus générale et la plus décidée regarde la sagesse et les mœurs ; rien n’est donc plus capable de nous indisposer, que des préceptes de, morale et de sagesse présentés comme des leçons. Je ne parle point de la satire; le succès en est assuré: si elle en blesse un, elle en flatte mille. Je parle d’une philosophie sévère, mais honnête, sans amertume et sans poison, qui n’insulte personne, et qui s’adresse à tous : c’est précisément de celle-là qu’on s’offense. Les poètes l’ont déguisée au théâtre et dans l’épopée en forme d’action; et ce ménagement l’a fait recevoir sans répugnance. Mais toute vérité ne peut, pas avoir au théâtre son tableau particulier : chaque pièce ne peut aboutir qu’à une moralité principale; et les préceptes répandu dans le cours de l’action passent trop rapidement pour ne pas s’effacer l’un l’autre : l’intérêt même les absorbe, et ne nous laisse pas la liberté d’y réfléchir. D’ailleurs l’instruction théâtrale exige un appareil qui n’est ni de tous les lieux ni de tous les temps : c’est un miroir public qu’on n’élève qu’à grands frais et à force de machines. Il en est à-peu-près de même de l’épopée. On a donc voulu nous donner des glaces portatives, aussi fidèles et plus commodes, où chaque vérité isolée eût son image distincte; et de là l’invention des petits poèmes.

Allégoriques.
  Dans ces tableaux, on pouvait nous peindre à nos yeux sous trois symboles différents : ou sous les traits de nos semblables, comme dans la fable du savetier et du financier, dans celle du berger et du roi, dans celle du meunier et de son fils, etc. ; ou sous le nom des êtres surnaturels et allégoriques, comme dans la fable d’Apollon et Borée, dans celle de la Discorde, dans les fictions poétiques, dans les contes de fées; ou sous la figure des animaux et des êtres matériels, que le poète fait agir et parier à notre manière. C’est ici le genre le plus étendu, et peut-être le seul vrai genre de la fable, par la raison même qu’il est le plus dépourvu de vraisemblance à notre égard.
Il s’agit de ménager la répugnance que chacun sent à être corrigé par son égal. On s’apprivoise aux leçons des morts, parce qu’on n’a rien à démêler avec eux et qu’il ne se prévaudront jamais de l’avantage qu’on leur donne. On ne s’offense point du ton d’un misanthrope solitaire et farouche, qu’on ne voit point : il est au rang des morts; et notre imagination en fait un être d’une espèce étrangère. Mais le sage qui vit simplement et familièrement avec nous, et qui, sans chaleur et sans violence, ne nous parle que le langage de la vérité et de la vertu, nous laisse toutes nos prétentions à l’égalité : c’est donc à lui à nous persuader, par une illusion passagère, qu’il est, non pas au-dessus de nous (il y aurait de l’imprudence à le tenter), mais au contraire si fort au-dessous, qu’on rie daigne pas même se piquer d’émulation à son égard, et qu’on reçoive les vérités qui semblent lui échapper, comme autant de traits de naïveté sans conséquence.
Si cette observation est fondée, voilà le prestige de la fable rendu sensible, et l’art réduit à un point déterminé. Or on va voir que tout ce qui concourt à nous persuader la simplicité et la crédulité du poète, rend la fable plus intéressante; au lieu que tout ce qui nous fait douter de la bonne foi de son récit, en affaiblit l’intérêt.
Quintilien pensait que les fables avaient surtout du pouvoir sur les esprits bruts et ignorants; il parlait sans doute des fables où la vérité se cache sous une enveloppe grossière; mats le goût, le sentiment, les grâces, que la Fontaine y a répandus, en ont fait la nourriture et les délices des esprits les plus délicats, les plus cultivés, et les plus profonds.
Or l’intérêt qu’ils y prennent, n’est certainement pas le vain plaisir d’en pénétrer le sens; la beauté de cette allégorie est d’être simple et transparente ; et il n’y a guère que les sots qui puissent s’applaudir d’en avoir percé le voile.
Le mérite de prévoir la moralité que La Motte veut qu’on ménage aux lecteurs, parmi lesquels il compte les sages eux-mêmes, se réduit donc à bien peu de chose : aussi La Fontaine, à l’exemple des anciens, ne s’est-il guère mis en peine de la donner à deviner; il l’a placée tantôt au commencement, tantôt à la fin de la fable; ce qui ne lui aurait pas été indifférent, s’il eût regardé la fable comme une énigme,
Quelle est donc l’espèce d’illusion qui rend la fable si séduisante? On croit entendre un homme assez simple et assez crédule pour répéter sérieusement les contes puérils qu’on lui a faits; et c’est dans cet air de bonne foi que consiste la naïveté du récit et du style.
On reconnaît la bonne foi d’un historien à l’attention qu’il a de saisir et de marquer les circonstances, aux réflexions qu’il y mêle, à l’éloquence qu’il emploie à exprimer ce qu’il sent: c’est là sur-tout ce qui met La Fontaine au-dessus de tous ses modèles. Ésope raconte simplement, mais en peu de mots; il semble répéter fidèlement ce qu’on lui a dit. Phèdre y met plus de délicatesse et d’élégance, mais aussi moins de vérité. On croirait en effet que rien ne dût mieux caractériser la naïveté, qu’un stylé dénué d’ornements; cependant La Fontaine a répandu dans le sien tous les trésors de la poésie, et il n’en est que plus naïf : ces couleurs si variées et si brillantes sont elles-mêmes les traits dont la nature vient se peindre , dans les écrits de ce poète, avec tant de grâce et de simplicité. Ce prestige de l’art paraît d’abord inconcevable; mais dès qu’on remonte à la cause, on n’est plus; surpris de l’effet.
Non-seulement La Fontaine a ouï dire ce qu’il raconte, mais il l’a vu, il croit le voir encore. Ce n’est pas un poète qui imagine, ce n’est pas un conteur qui plaisante; c’est un témoin présent à l’action, et qui veut vous y rendre présent vous-même; son érudition, son éloquence, sa philosophie , sa politique, tout ce qu’il a d’imagination, de mémoire, et de sentiment, il met tout en œuvre, de la meilleure foi du monde, pour vous persuader; et c’est cet air de bonne foi, c’est le sérieux avec lequel il mêle les plus grandes choses avec les plus petites, c’est l’importance qu’il attache à des jeux d’enfants, c’est l’intérêt qu’il prend pour un lapin et une belette, qui font qu’on est tenté de s’écrier à chaque instant, Le bon homme ! On le disait de lui dans la société ; son caractère n’a fait que passer dans ses fables. C’est du fond de ce caractère que sont émanés ces tours si naturels, ces expressions si naïves, ces images si fidèles; et quand La Motte a dit,
Du fond de sa cervelle un trait naïf s’arrache,ce n’est pas le travail de La Fontaine qu’il a peint dans un vers si dur.

La Fontaine raconte la guerre des vautours ; son génie s’élève : Il plut du sang. Cette image lui paraît encore faible; il ajoute, pour exprimer la dépopulation,
Et sur son roc Prométhée espéra De voir bientôt une fin à sa peine.
La querelle de deux coqs pour une poule, lui rappelle ce que l’amour a produit de plus funeste;

Amour, tu perdis Troie.

Deux chèvres se rencontrent sur un pont trop étroit pour y passer ensemble; aucune des deux ne veut reculer; il s’imagine voir.

Philippe quatre qui s’avance

Un renard est entré la nuit dans un poulailler; comment exprimer ce désastre ?

Les marques de sa cruauté
Parurent avec l’aube. On vit un étalage
De corps sanglants et de carnage.
Peu s’en fallut que le soleil
Ne rebroussât d’horreur vers le manoir liquide, etc.

La Motte a fait, à mon avis, une étrange méprise, en employant à tout propos, pour avoir l’air naturel, des expressions populaires et proverbiales : tantôt c’est Morphée qui fait litière de pavots; tantôt c’est la lune qui est empêchée par tes charmes d’une magicienne; ici le lynx, attendant le gibier, prépare ses dents à l’ouvrage; là le jeune Achille est fort bien morigéné par Chiron. La Motte avait dit lui-même : Mais prenons garde à la bassesse, trop voisine du familier. Qu’était-ce donc, à son avis, que faire litière de pavots? La Fontaine a toujours le style de la chose.

Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Intenta pour punir les crimes de la terre.
……………………………..
Les tourterelles se fuyaient :
Plus d’amour, partant plus de joie.

 Ce n’est jamais la qualité des personnages qui le décide. Jupiter n’est qu’un homme dans les choses familières; le moucheron est un héros lorsqu’il combat le lion : rien de plus philosophique , et en même temps rien de plus naïf que ces contrastes. La Fontaine est peut-être celui de tous les poètes qui passé d’un extrême à l’autre avec le plus de justesse et de rapidité. La Motte a pris ces passages pour de la gaieté; philosophique ; et il les regarde comme une source du riant; mais La Fontaine n’a pas dessein de faire croire qu’il s’égaie à rapprocher le grand du petit; il veut que l’on pense, au contraire, que le sérieux qu’il met aux petites choses, les lui fait mêler et confondre de bonne foi avec les grandes; et il réussit en effet à produire cette illusion. De là vient qu’il n’est jamais contraint ni dans le style familier, ni dans le haut style. Si ses réflexions et ses peintures l’emportent vers l’un, ses sujets le ramènent à l’autre, et toujours si à propos, que le lecteur n’a pas le temps de désirer qu’il prenne l’essor ou qu’il se modère : en lui chaque idée réveille soudain l’image et le sentiment qui lui est propre; on peut le voir dans ses peinturés, dans son dialogue, dans ses harangues.
Qu’on lise, pour les peintures, la fable d’Apollon et de Borée, celle du Chêne et du Roseau; pour le dialogue, celle de la Mouche et de la Fourmi, celle des Compagnons d’Ulysse; pour les monologues et les harangues, celle du Loup et des Bergers, celle du Berger et du Roi, celle de l’Homme et de la Couleuvre y modèles à-la-fois de philosophie et de poésie. On a dit souvent que l’une nuisait à l’autre; qu’on nous cite, ou parmi les anciens, ou parmi les modernes, quelque poète plus riant, plus fécond, plus varié, quelque moraliste plus sage.
Mais ni sa philosophie ni sa poésie ne nuisent à sa naïveté; au contraire, plus il met de l’une et de l’autre dans ses récits, dans ses réflexions, dans ses peintures, plus il semble persuadé, pénétré de ce qu’il raconte, et plus par conséquent il nous paraît simple et crédule.
Le premier soin du fabuliste doit donc être de paraître persuadé; le second, de rendre sa persuasion amusante; le troisième, de rendre cet amusement utile.

……….Pueris dant crustula blandi
Doctores, elemtnta velint ut discere prima. ( Horat. )

 On vient de voir de quel artifice La Fontaine s’est servi pour paraître persuade; je n’ai plus que quelques réflexions à ajouter sur ce qui détruit ou favorise cette espèce d’illusion.
Tous les caractères d’esprit se concilient avec la naïveté, hors l’affectation et l’air de la finesse. D’où vient que Janot lapin, Robin mouton, carpillon Fretin, la gent trotte-menu, etc., ont tant de grâce et de naturel ? d’où vient que dom Jugement, dame Mémoire, et demoiselle Imagination, quoique très-bien caractérisés, sont si déplacés dans la fable? Ceux là sont du bonhomme; ceux-ci du bel-esprit.

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