« Ami, jouons tout notre grain,
Disait un coq à son voisin,
Celui qui volera plus haut que cette porte
Trois fois de suite, aura tout le butin.
— Si ton agilité l’emporte,
Répondit celui-ci, je mourrai donc de faim ?
L’homme seul prend plaisir à jouer de la sorte.
Gardons-nous d’imiter son ardeur pour le gain. »
“Les deux Coqs”