Adolphe Durand, dit l’Ainé (1784-1878), homme de lettres français.
– Le père Maurin, ou conseils d’un maire de campagne aux jeunes gens… 1833.
FABLES :
- Le Vieux Chat
- Le Singe railleur
- Le Castor et le Perroquet
- Le Moineau et le Pinçon
- Le Paon et la Pintade
- Le Rosier et le Figuier
- Le Chat novice
- L’Homme et la Cigale
- Le Perroquet et le Carlin
- Le Lièvre et le Lapin
- Les deux Fourmis
- Le Moineau et le Chardonneret
- L’Aigle et l’Aiglon
- Le Chien et le Loup
- Le Merle et le Paon
- L’Enfant et l’Ane
- Le Père et le Fils
- Le Chat battu
- Les deux Cerfs
- Les deux Cailles
- L’Ecuyer et l’Ane
… Je donne au public un recueil de fables que j’avais composées pour le fils d’un de mes amis. J’avais choisi pour le fond des vérités utiles à son âge ; pour la forme, j’avais cru la prose plus simple que les vers, plus facile à comprendre. Quelques personnes ayant ensuite pensé que ce petit recueil pourrait être utile au public, je le donne tel qu’il est. Mais des fables en prose ne seront pas bonnes à orner la mémoire. Quel est l’instituteur qui, ayant La Fontaine, fera apprendre ce recueil ? Personne, sans doute, n’y pensera. Aussi n’ont-elles pas été faites pour cela. (Adolphe Durand, dit l’Ainé)
- Fables nouvelles à l’usage de la jeunesse contenant des principes de morale propres à diriger son jugement et à régler sa conduite. Précédées des règles de l’apologue, par Adolphe Durand, dit l’Ainé, Prudhomme (Grenoble) 1833.